Si les morts parlent aux vivants, c’est pour leur apprendre comment vivre et ne se souvenir que de l’amour.
Alba et Maurizio se rencontrent à Rome pendant la guerre. Elle transmet les messages de la Résistance, il est coiffeur dans le ghetto. Déporté à Auschwitz, Maurizio survit en devenant le barbier de sa baraque, sans jamais renoncer au souvenir d’Alba, à la délicatesse de son visage dessiné sur du papier volé.
Ce portrait, comme sa souffrance, Maurizio l’a confié à sa petite-fille. Des années plus tard, au cours d’une interminable nuit, elle raconte à l’homme qu’elle aime cette histoire qui est son héritage. Mais à mesure que la nuit avance, le drame resurgit…
le culte du blond cendré…bof je n’ai pas trop adhéré
les détails des atrocités …pas indispensables
c’est seulement vers la fin, période en Argentine, que je me suis intéressée à l’histoire
les morts parlent aux vivants ? les vivants parlent aux morts !
Comme toujours quand on lit les atrocités des guerres, on prie le Ciel d’y échapper….