Le gang des rêves – Luca DI FULVIO

New York ! En ces tumultueuses années 1920, pour des milliers d’Européens, la ville est synonyme de  » rêve américain « . C’est le cas pour Cetta Luminata, une Italienne qui, du haut de son jeune âge, compte bien se tailler une place au soleil avec Christmas, son fils. Dans une cité en plein essor où la radio débute à peine et le cinéma se met à parler, Christmas grandit entre gangs adverses, violence et pauvreté, avec ses rêves et sa gouaille comme planche de salut. L’espoir d’une nouvelle existence s’esquisse lorsqu’il rencontre la belle et riche Ruth. Et si, à ses côtés, Christmas trouvait la liberté, et dans ses bras, l’amour?

4 réflexions sur « Le gang des rêves – Luca DI FULVIO »

  1. Un livre fulgurant, que j’ai lu d’une traite. Drôle, émouvant , plein de rêves et de gouaille, d’invention et d’espoir… Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un livre qui m’ait passionné à ce point.

    « Harlem était en ébullition bien avant sept heures et demie. Tous les postes de radion fabriqués par Cyril au fil des ans étaient allumés et réglés. Cette aussi avait allumé avec une heure d’avance le Radiola que Ruth avait offert à Christmas, et Sal était assis à son côté, plus pâle et ému qu’elle, bien que le poste ne diffuse encore dans la pièce que le ronflement de ses lampes. Au siège de la N.Y. Broadcast, Maria, en compagnie des deux preneurs de son qui avaient participé à ma première mise en onde de Diamond Dogs, était enfoermée dans une petite pièce du troisième étage, et elle avait branché l’équipement de la radio sur 540 AM. Cyril était dans la chambre de sister Bessie et les enfants se serraient contre leur mère, sans bien comprendre pourquoi il fallait écouter à la radio un blanc qui parlait de l’autre côté de la cloison ».

    1. j’ai bien aimé le récit de la vie des quartiers, des gangs, la débrouillardise , l’ambiance des bas quartiers.
      les descriptions sont faites pour le cinéma c’est évident !
      j’ai moins aimé l’histoire d’amour où on ne finit pas de se,perdre, on se retrouve, on se reperd , un peu feuilleton à épisodes
      et … que c’est lourd un livre de 716 pages

  2. Fresque sociale remarquable. On est imprégné par l’atmosphère, les personnages, les rebondissements…..on est complètement dans l’histoire.
    La fluidité de l’écriture m’a fait avaler ces 950 pages (version poche)sans m’en rendre compte.
    Un très beau moment de lecture, sans toutefois être un coup de coeur.
    « Bonsoir, New York! »

  3. J’ai adoré ce livre! Une fois commencé, je n’ai plus pu le lâcher littéralement envoutée par l’histoire et ses personnages attachants. Un vrai moment de plaisir.

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