Ecrit par une jeune femme d’origine vietnamienne – son prénom signifie «se souvenir du pays» – dont les parents ont fui le Vietnam dans les années 1970, ce beau roman bref parvient à associer la splendeur et la douceur d’un pays à la violence d’un conflit qui le ravagea totalement. (Gilles Heuré – Télérama du 17 avril 2013)
Avec L’Ombre douce, Hoai Huong Nguyen réussit son entrée sur la scène littéraire…
Un titre à la fois trompeur et fidèle, représentatif du grand art de l’auteur, reine de l’oxymore, qui convie à la même table les passions du coeur et les folies des hommes, l’eau claire du lac de l’Epée et le tumulte de l’océan…
C’est tout le talent de cette nouvelle venue sur la scène littéraire. Composer à partir de thèmes mille fois traités (les amours contrariées, les ravages de la guerre) un hymne à la grandeur des sentiments et aux beautés de la nature. (Marianne Payot – L’Express, mai 2013)
Très belle lecture.
J’ai découvert une page terrible de l’Histoire.
L’écriture est poétique, délicate.
« L’ombre douce »…allusion à l’ombre de Mai qui suit Yann jusqu’à Belle-île…magnifique!
j’ai beaucoup aimé
Une belle écriture; des phases courtes; j’ai aimé ces conversations intérieures.
Mon âge fait que j’ai vécu à l’époque de Diên Biên Phu
Je me souviens des échos atroces de cette bataille perdue, des soldats encerclés dans ces montagnes
la description du calvaire des soldats est terriblement précise
beaucoup de poésie aussi entre ces deux êtres. la douceur est palpable.
Bravo ! Bon choix !
Bof; je n’ai pas vraiment réussi à m’intéresser aux personnages ni à leur sort. Le style d’écriture parfois télégraphique, avec beaucoup de tirets et le va-et-vient d’un dialogue où l’on n’entend qu’une des parties, m’a parfois gêné. Une lecture sans grand enthousiasme mais sans déplaisir non plus.