De si jolies ruines, Jess Walter

ruinesLes amateurs de lecture vont adorerDe si jolies ruines. Dès la première page, ce roman évoque un univers irrésistible. Le clapotis de la mer de Ligurie turquoise vient chatouiller une côte rocheuse flanquée de maisons aux couleurs acidulées et aux fenêtres ouvertes. À première vue, vous n’avez qu’une envie : entrer dans ces maisons et découvrir ce qu’il s’y passe.

Ne vous inquiétez pas. Jess Walter nous offre un récit épique regorgeant de personnages entiers, des artistes, manipulant l’illusion pour le plaisir, le profit et pour donner un sens à leur vie. Ce sont des acteurs de cinéma, un romancier et Pasquale, un aubergiste, qui nourrit ses clients de vin maison et de rêves. Parmi les paillettes et l’espoir, vous retrouverez les âmes perdues avides de créativité. Jess Walter ne se contente pas de nous présenter ces personnages, il les suit pendant quinze ans. Le voyage vous ravira et vous captivera.

5 réflexions sur « De si jolies ruines, Jess Walter »

  1. Roman d’été.
    Original, varié, agréable à lire.
    Il m’a fallu lire 80 pages avant d’entrer dans l’histoire..ensuite, lecture très agréable. La fin (dernier chapitre) m’a « saoulée ».

    1. ce livre est annoncé  » chef d’oeuvre absolu »
      c’est un peu excessif à mon avis

      je n’ai pas tellement apprécié le saut d’époques parfois difficile à suivre

      agréable par moments
      le dernier chapitre est  » carne e macaroni »( tout est pardonné ) comme on dit en italien

  2. en voyant la couverture, je craignais un peu le roman à l’eau de rose, chose qui aurait été évidemment surprenante !
    Se lit facilement. Cela m’a plongée dans certains souvenirs car j’ai séjourné dans cet endroit paradisiaque qui sont les Cinque Terre.

  3. Lecture parfaite pour mes vacances en … Italie ! (Bon, c’était en Sardaigne, mais cela a tout de même contribué au plaisir de la lecture).
    Le personnage très attachant de Pasquale m’a fait penser au « Postino » du film. Et comme le récit m’a paru très cinématographique, il ne manque plus qu’un « Michael Dean » pour produire l’adaptation du livre !…

  4. Comme Isabelle, j’ai dû lire une bonne 50taine de pages avant d’entrer véritablement dans l’histoire et comme Jeannine, je ne qualifierai pas ce livre de « chef d’oeuvre absolu ». Néanmoins, j’ai aimé le va-et-vient permanent entre les époques et les personnages, le mélange d’humour et d’émotion, une fin un peu « fleur bleue ». C’est agréable et facile à lire en regardant les feuilles d’automne tomber en tourbillonnant…

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