Le dîner, de Herman Koch

Succès phénoménal aux Pays-Bas, alliance détonante d’une comédie de moeurs à l’humour ravageur et d’un roman noir à la tension implacable, Le Dîner dresse le portrait de notre société en pleine crise morale. Deux frères se donnent rendez-vous avec leurs épouses dans un restaurant branché d’Amsterdam. Hors-d’oeuvre : le maître d’hôtel s’affaire. Plat principal : on parle de tout, des films à l’affiche, des vacances en Dordogne. Dessert : on évite soigneusement le véritable enjeu du dîner, les enfants. Car leurs fils respectifs ont commis un acte d’une violence inouïe. Un café, un digestif, l’addition. Reste la question : jusqu’où irions-nous pour préserver nos enfants ?

2 réflexions sur « Le dîner, de Herman Koch »

  1. J’ai dévoré. Roman qui dérange, grinçant, qui pose des interrogations….à lire donc!
    Au départ le narrateur semble sympathique, on suit ses souvenirs, ses réflexions sur la société. Et peu à peu il apparaît complètement sous un autre aspect, ainsi que sa femme. Et on commence à se sentir mal à l’aise….
    Isabelle B.

  2. Un roman dérangeant mais pas inoubliable même si on ferme le livre avec un sentiment de malaise, c’est vrai. Je ne suis pas sûre que je m’en souviendrais dans un an… A vous de voir!

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