Après Marjane Satrapi, qui avait raconté sa jeunesse iranienne dans Persepolis, Riad Sattouf entreprend de mettre en images ses propres souvenirs de Lybie et de Syrie. Ce premier volume de ce qui devrait être une trilogie s’arrête en 1984, alors que l’auteur a 6 ans.
Tiens, pourquoi suis-je la première à commenter cette BD?
Et que dire?
Que je suis contente d’avoir découvert Riad Sattouf, qui a travaillé pour Charlie Hebdo, entre autres…
Que j’ai envie de lire la suite, qui est sortie en juin…
Que j’ai aimé ce regard enfantin sur la situation en Libye et en Syrie…
Que les couleurs et le graphisme ne sont pas ceux que je préfère…
Que c’est chouette d’avoir une BD de temps en temps…
Que j’ai enfin eu le temps de lire le livre du mois 😉
Forme : étonnante ! recevoir une BD dans le cadre de notre tournante est surprenant !
le graphisme n’est pas celui que je préfère (et je rejoins Nathalie) mais assez rapidement il passe au second plan
Contenu : interpellant …. comme culture je préfère la nôtre !!!
J’ai réservé le 2d tome à la bibliothèque de Braine l’Alleud car j’ai hâte de connaître la suite malgré le fait qu’on la redoute….
J’ajoute que comme j’ai la chance de pouvoir conserver ce livre, je l’ai déjà refilé à plusieurs personnes qui s’en trouvent enchantées…
Je rejoins les commentaires précédents: une BD surprenante et interpellante au graphisme minimaliste; j’ai pris vraiment ce pauvre Riad et sa mère en pitié et je n’ai aucune envie d’aller ni en Syrie ni en Lybie (ni au Moyen-Orient d’ailleurs); « L’arabe du futur, il va à l’école ». Bon, ben, espérons que ça servira à quelque chose… Je ne sais pas si je lirai la suite, ça m’a plutôt…agacée. Mais je crois que c’était le but de l’auteur.
j’ai conservé le livre, je viens de le lire ce mois-ci
1° je ne suis pas amateur de BD
2° le graphisme est laid
3° j’aurais préféré lire ce récit en format roman
4° on peut facilement imaginer la suite …
mais je sais qu’il existe des inconditionnels de la BD , je respecte