Après le décès de son grand-père, le narrateur réalise l’importance de préserver les instants vécus avec ses proches. Il se rapproche alors de sa grand-mère. Ce roman est le pretexte à une méditation sur le temps, la mémoire, les liens entre générations.
J’ai beaucoup aimé.
C’est un livre qui parle de la vie sur un ton de fausse légèreté.
Touchée par la sensibilité de DF (tout comme dans son livre précédent « La délicatesse »).
Un livre qui m’a parlé.
isabelle
Un livre plaisant et une réflexion douce-amère sur la vieillesse et les relations familiales, dans une histoire faussement simple racontée avec délicatesse et humour.
De quoi passer un bon moment.
un livre délicieux ! touchant, délicat de simplicité , plein d’humour
une lecture qui m’a fait du bien !
C’est le livre que je gardais en… 2012 ! Je viens de le lire d’une traite et je me dis que ce n’est peut-être pas un hasard si je ne le lis que trois ans plus tard parce qu’il résonne tellement en moi aujourd’hui ! Peut-être ne l’aurais-je pas perçu de la même manière avant.
Entre-temps, Isa et moi avons même rencontré l’auteur qui parlait de son dernier livre, « Charlotte ». D’accord avec toi Isa pour dire que la sensibilité de Foenkinos est touchante. Tu te souviens, quand je lui ai fait dédicacer le livre, j’ai osé ma petite feinte : « On se croirait au confessionnal. » Et il m’a demandé ce que j’avais à lui confesser… Je ne sais plus ce que j’ai répondu… une connerie… De toute façon, il ne s’en souvient plus ! Ah! Les souvenirs !…
Hahaha…. belle soirėe effectivement avec David. Toutes ces dames semblaient avoir tant à lui raconter en aparté…..et lui tellement cool. L’image du confessionnal c’était vraiment ça!