Les poches cousues, Michel Claise, Alain-Charles Faifherbe

pochesDans ce pays du Bloc de l’Est, où règnent le Parti communiste et la corruption, le juge Mikhaïl Mikhaïlovitch ne ressemble pas à ses collègues : il a tout simplement décidé de « coudre ses poches ». Dans ce système pourri, il devient alors l’homme à abattre.

4 réflexions sur « Les poches cousues, Michel Claise, Alain-Charles Faifherbe »

  1. Cette histoire est vraie! Inimaginable, et très angoissant…
    A faire lire par tout le monde!
    Je salue ici le courage et l’honnêteté d’Alain-Charles Faidherbe, ainsi que de Michel Claise.

    1. Il n’est pas nécessaire, je dirais même superflu de mettre cette histoire dans un contexte « roman »
      j’ai été très déçue. Il suffit de lire des essais, des récits directs, pour être informé de ces pratiques révoltantes. J’ai l’impression de n’être aux yeux de l’auteur qu’une gamine à qui on voudrait dévoiler l’impossible. Il suffit d’évoquer les faits de meurtre récents, d’empoisonnements non élucidés (volontairement ) , de pièges organisés. Le livre a pour ambition d’éclairer les lecteurs. Mais la manière est un peu simpliste à mes yeux. Déception !

  2. incroyable ! dans notre petit monde tranquille où l’on entend parler de loin de la corruption, on ne peut imaginer l’enfer que vivent ceux qui veulent résister. Des héros ! vraiment ! comme tous ceux qui veulent changer le monde.
    Il y a de quoi trembler cependant puisqu’il s’agit d’évènements récents qui se passent dans un pays qui veut intégrer l’espace Schengen. Brrr
    C’est admirable et je salue le courage des auteurs.

  3. L’histoire est romancée, mais le parfum de déjà vu… Très bulgare tout ça. D’un réalisme à couper le souffle et à faire froid dans le dos. Un livre écrit plus comme un script de film (des chapitres courts et très descriptifs) que comme un roman littéraire mais néanmoins plaisant. Bonnes vacances à tous!

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